Le bassin de Sebou :
- S’étend sur 36 000km2 est constituée de plaines, de bas plateaux et de quelques collines ou petits massifs,
- Une forte proportion de bonnes terres, des précipitations souvent suffisantes pour permettre des cultures sans irrigation.
- La plus grande région agricole du Maroc.
La région pré rifaine :
- Villages sont installés principalement sur les sommets de collines dont les pentes sont souvent mises en cultures, en contrebas, des oliveraies,
- L’élevage constitue la troisième source de revenu après les céréales et les olives.
La région du Saiss :
- Parmi les meilleures conditions de vie rurale au Maroc.
- Zone au relief peu accidenté possède des terres de bonne qualité , cependant relativement peu peuplée.
- Production des céréales , du raisin pour la vinification et des olives pour l’huile.
Le Rharb :
- En contact avec l’atlantique, cette région produit la betterave sucrière, de la canne à sucre.
- Maamora : forêt qui est une région des moins peuplées du Maroc atlantique.
Le haut plateau central :
- Ces coins sont Rabat, Meknès Kénifra, c’est une zone en parfois montagneuses.
- Précipitations relativement abondantes.
- L’élevage est pratiqué par des pasteurs , les confédérations Zaaianes, Zemmour Zair produisent avec la laine de leurs moutons des tapis.
Les bas plateaux côtiers :
- De rabat à Essaouira entre la cote et une marche de 100 à 150 m de hauteur.
- ils constituent l’une des grandes régions agricoles du Maroc.
La Chaouia :
- Profite de l’important marché de consommation offert par la principale métropole et de son port d’exportation .
- Les surfaces consacrés aux cultures maraîchères le long du littoral voisinent avec des terrains d’élevage de vaches, les Vignoles de la Chaouia sont réputés et à la limite celui de Boulaouane.
Les Doukkala et les Abda Ahmar :
- Elle s’étend au sud de Ooum Rabiaa sur une profondeur maximale de 80 km.
- Les précipitations ne dépassent pas 3000mm par an ce qui la classe dans le domaine semi aride.
- la plus grande partie du la région, les revenus des paysans sont complétés par l’élevage de bovins.
- le long de la cote , des cultures maraîchères intensives, en particulier les tomates, le long de ce secteur se pratique la pêche aux crustacés.
- l’élevage des huîtres et le ramassage du sel dans les marais salants
Les chiadma :
- De l’oued Tensift au nord jusqu’au pied occidental du haut Atlas au sud.
- Une région faite de plateaux, de collines, dans ces conditions.
- L’orge l’emporte sur le blé et le mais le long de la vallée argileuse.
- le thuya et surtout l’arganier couvrent une partie de la région, les arganiers jouent un rôle non négligeable dans l’alimentation des nombreux troupeaux de chèvres.
Les plateaux centraux :
- Plateau de phosphates et plateau de Rehamna.
- La récolte de l’orge qui est la culture principale est bien maigre.
- L’élevage intensif des moutons constitue le tiers des revenus des paysans.
Les plaines intérieures pré Atlasiques :
- Au pied de l’Atlas, haut et moyen, leur aridité naturelle est compensée par la proximité de la montagne.
Le Tadla :
- Zone d’irrigation moderne la plus importante au Maroc.
- La culture de la betterave sucrière y est pratiquée de façon intensive et alimente trois sucreries locales.
- Plantations d’agrumes, d’abricots et des olives profitent des importantes possibilités d’irrigation.
Le Haouz :
- Région qui s’étend jusqu’au piémont du haut Atlas dans le voisinage de Marrakech.
- Les oueds Tensift, Ourika, Zate et Nfis traversent le Haouz et participent à l’irrigation.
- La population rurale vit en très grande majorité dans les zones irriguées.
Les plaines du Souss :
- La région ouverte sur l’atlantique comprise en, très le haut Atlas est la plaine méridionale du Maroc
- L’économie rurale traditionnelle concerne l’orge et surtout l’élevage de chèvres permis par les forets d’arganiers.
Les régions arides :
- La vallée de l’oued Mouloya et les hauts plateaux qui courent jusqu’à la frontière algérienne, et de l’immense zone saharienne, au sud l’anti Atlas du Jbel Saghro.
La zone de la Moulouya :
- Il peut paraître paradoxal de classer la zone où coule un des principaux oueds permanents du Maroc dans les régions arides, pourtant à l’exception des plaines côtière et des oasis de Missour, Guércif la densité de la population est faible et témoignes des conditions difficiles,